Life is an eternal swing. Un film d' André Chandelle

98 min sortie cinéma – DCP - stereo – Beta numérique - VO bulgare/français - sous-titres français, néerlandais, bulgare et Anglais - 2015

Produit par Serge Kestemont et Vera Chandelle
Une production Luna blue film (Bruxelles), Fabrikata (Sofia), Klas Film (Sofia), Tax Shelter Av Brahler, BNT (Télévision Bulgare)

Avec l'aide du centre du cinéma et de l'audiovisuel de la fédération Wallonie-Bruxelles et de Voo,
et du tax shelter du gouvernement fédéral belge, avec l'aide du Centre National du Cinéma (Bulgarie) et la commune de Sofia.

Scénario et réalisation:
André Chandelle
Producteur exécutif:
Serge Kestemont
Directeur de production:
Charlotte Bosquet

Image:
Gueo Ivanov
Son:
Pierre-Yves Lavoé
Montage image:
Zoritsa Kotseva
Montage son et mixage:
Nenko Milev

Equipe luna blue film:
Delphine Brual
Michel Kestemont
Aimée Coquillat


Bande annonce


C’était il y a trente ans. Le mur tombait. Trente ans, le temps d’une génération. Une génération, qui a pu être dite perdue.
Le film, part à la recherche de ceux qui dans leur pays, sont restés fidèles au poste. En ne cédant ni au désenchantement, ni aux sirènes de l’exil. ‘’Life is an eternal swing’’ tente de retrouver cette génération-là et de montrer -c’est l’espérance que porte le film- qu’elle ne s’est pas perdue. Loin de là.

Le réalisateur, lui a fait le chemin inverse. Il est venu de Belgique et s’est installé en Bulgarie, il y a quinze ans. Sa vie lui a fait rencontrer -de manière très intime- une brochette de musiciens et de chanteuses talentueux qui ont unis leur force dans un projet qui a enchanté la scène bulgare de musique de jazz, le trio Sentimental Swingers et le septuor de Mihail Yossifof. La fraîcheur de leur approche de la scène et de la musique ont durablement séduit l’auteur du film, ainsi que la personnalité de ceux qui composait ce groupe. À ses yeux, ils avaient vécus plusieurs vies, quand lui n’en avait vécu qu’une seule. Cette génération a connu les dernières années du communisme, les jours grisants de la chute du mur, puis les désillusions des années qui ont suivi le changement.
Trente ans, c‘était hier. Et c’est comme si c’était aujourd’hui. Un film documentaire ne meurt jamais. Son rôle c’est faire vivre les évènements et les gens du passé, comme le trio Sentimental Swingers n’existe plus.